AVALOR : né le 15 mars 2017. Merci à tous ceux qui nous ont soutenu sur ce projet. Quelques mois seulement mais retour sur la genèse du projet
Temps 1 : le labo à idée d’AVALOR
Pour commencer, AVALOR est une Fintech née d’une histoire entre repreneurs !
Avril 2014 : Tout est parti d’un groupe de repreneurs au CRA de Lyon. Lors d’une réunion de repreneurs, nous étions tous en train de faire nos évaluations dans notre coin à perdre beaucoup de temps avec Diane. Ce qui peut paraître paradoxal. Les délégués du CRA nous disaient qu’il fallait avoir plusieurs cibles en même temps. Comment faire pour avoir plusieurs cibles quand on passe son temps à récupérer des bilans auprès des cédants et de leurs experts comptables ? Un fois les informations des bilans obtenues, on remplit des tableaux excel. Pour le plus aguerris, cela prend 3 heures. Pour ma part, je demandais à Stéphane LEDUC, mon futur associé. De formation financière, il est devenu notre spécialiste évaluation et surtout nous aidait à interpréter nos données.
Temps 2 : AVALOR une association bien née.
Au CRA, on nous avait conseillé de nous associer pour regarder nos dossiers les plus importants. En effet, à deux, on a plus d’apport personnel que tout seul. L’avantage de l’association c’est :
- Regarder des dossiers plus gros
- Jouer la complémentarité quand on est commercial et l’autre financier.
Nous voilà parti pour regarder des dossiers sur Lyon et sa région. On regardait des dossiers en commun et moi, je voulais évaluer les concurrents de la cible dans le cadre de l’approche directe.
Et puis de dossier en dossier, toujours la même histoire, celle du prix.
Temps 3 : Echec d’une reprise et naissance d’une entreprise
Dès mai 2014, alors que nous menions plusieurs dossiers de front, dans le cadre d’une approche directe, je rencontre un dirigeant d’une belle affaire de la vallée d’Azergues. Ensuite, je me rends directement dans son entreprise. » Bonjour je suis repreneur et je recherche une entreprise« . Il me reçoit et commence l’entretien avec un couteau qu’il sort et rentre dans son étui. Scène complètement sur réaliste. Il m’explique qu’il a fait un AVC, il y a 3 ans et qu’il n’arrive plus à avoir le même rythme de travail. Enfin, il me demande mon parcours. Je connais bien le marché. Puis, il commence à se détendre quand nous parlons de client que nous connaissons tous les deux…. A suivre.
Stéphane Le Duc
01/01/2018