Les sources de financement, reprise d’entreprise

Reprise d’entreprise

La reprise d’entreprise permet à une ou plusieurs personnes d’être propriétaire et dirigeant d’entreprise. Si pour les uns reprendre une entreprise est facile, d’autres pensent plutôt le contraire à cause de la disponibilité des moyens de financement.

Pour faire reprendre une entreprise, il faut avoir des moyens financiers. Qu’ils soient personnels ou provenant d’apports extérieurs, ces moyens constituent la clé de la reprise. Pas de moyens financiers, pas de rachat d’entreprise.

D’où l’importance de bien évaluer votre cible pour vous permettre d’avoir une idée du prix de rachat de l’entreprise et pouvoir constituer la somme nécessaire pour la reprise. Il est également recommandé de bien connaitre les différentes étapes de la transmission entreprise pour que les moyens de financement soient disponibles en temps et en heure.

Les sources de financement pour vous aider dans votre reprise sont diverses :

1. Apport personnel

Pour racheter une entreprise, il faut un apport de 20 à 35% du prix de vente de l’entreprise parfois plus, tout dépend de la taille de votre cible et de la situation économique.

L’apport personnel est très apprécié par le cédant pour sa simplicité. Néanmoins, il est fortement conseillé de ne pas faire un apport à 100% dans un processus de rachat d’entreprise au risque de se priver d’autres sources disponibles et aujourd’hui peu onéreuses.

L’autofinancement peut provenir de différents canaux :

  • L’épargne personnelle, qui constitue l’argent que vous avez mis de côté dans le but de réaliser cette reprise.
  • L’aide de vos amis et proches peut aussi être un atout indispensable en vous faisant des donations ou des prêts.
  • Ouvrir le capital à d’autres personnes, c’est-à-dire permettre à des tiers d’investir au sein de l’entreprise que vous souhaitez reprendre. En retour, ils seront détenteurs d’actions ou de parts dans la société (associés ou actionnaires en fonction de la nature de la société). Leur entrée ou non est directement lié au niveau d’indépendance que vous souhaitez avoir dans la gestion de l’entreprise que vous rachetez.

2. Aides disponibles

Concernant les aides à la reprise d’entreprise, il en existe plusieurs. Vous pouvez en faire la demande auprès de votre région ou de votre commune.

Ces aides peuvent être les suivantes :

  • Prêts d’honneur : prêts à zéro taux octroyés aux repreneurs à titre personnel. Dans ces conditions, ils sont considérés par les autres financeurs comme faisant partie de l’apport personnel. Cette initiative a été mise en place par BpiFrance pour venir en aide aux personnes qui souhaitent reprendre ou créer une entreprise. Il s’adresse uniquement aux personnes physiques qui ont leur foyer fiscal en France. Les réseaux d’accompagnement de ces prêts sont Initiative France et Réseau Entreprendre.
  • Aides publiques : elles émanent des Autorités administratives. Vous pouvez bénéficier de l’aide de l’État ou de votre région. Renseignez-vous pour savoir à quelles aides vous avez droit.

Cependant, il existe d’autres aides accordées sous certaines conditions:

3. Financement par endettement

Comme dans la majorité des cas, l’apport personnel, les aides et subventions ne sont pas suffisantes pour financer la totalité de la reprise. Il convient de recourir à un ou plusieurs prêts auprès des établissements de crédit.

La BpiFrance : la Banque Publique d’Investissement France peut vous accorder un prêt allant de 40.000 à 650.000 € pour la reprise d’une PME (Petite et Moyenne Entreprise). Ce prêt a une durée de 7 ans maximum avec un allègement du remboursement les deux premières années. Mais, il s’accompagne obligatoirement d’un prêt bancaire de 5 ans maximum. Ce prêt ne peut excéder 40% du montant total des financements mis en place.

Les banques : elles sont là pour prêter main forte aux personnes qui sont à la recherche de financements complémentaires pour finaliser leur reprise. Ces prêts moyennant des frais permettent de réaliser des projets. L’endettement permet donc de compléter le montant d’achat de votre cible. Renseignez-vous auprès de votre banque sur les taux d’intérêt, les durée et les frais de dossiers et d’assurance avant tout engagement.

Vous souhaitez vous lancer dans un projet de reprise d’entreprise ? Ces entreprises n’attendent que Vous !

Salamata DIALLO

Diagnostic d’une entreprise à reprendre

Diagnostic entreprise

Faire le diagnostic d’une entreprise consiste à réaliser une étude approfondie de l’entreprise en tenant compte de facteurs internes et externes. Cette étude se fait avec le concours de professionnels.

Lors d’une acquisition d’entreprise, son diagnostic est nécessaire et s’effectue avant ou après la première évaluation de l’entreprise. Il permet ainsi au repreneur d’avoir une vision claire et précise sur sa future acquisition.

Le diagnostic d’une entreprise se fait dans plusieurs cas :

  • Lorsque le dirigeant ou un des actionnaires souhaite connaitre la situation de son entreprise dans un domaine précis ou dans le cadre d’un projet de cession ;
  • Lorsqu’un repreneur s’intéresse au rachat de la société ;
  • Lors d’opérations de fusion-acquisition.

Lors du rachat d’une entreprise ou du rachat partiel de titres ou de parts sociales, il est nécessaire de « très bien » connaitre la société que l’on souhaite acquérir ou dans laquelle on souhaite entrer avant de signer tout engagement.

L’acquéreur doit se poser plusieurs questions sur la société à reprendre. Il est conseillé de faire plusieurs analyses : financière, sociale, juridique, opérationnelle et environnementale.

Le diagnostic va au delà de la seule évaluation de l’entreprise. Il permet à l’acquéreur de recueillir des informations plus complètes sur l’entreprise comme celles relatives à son secteur d’activité. Il dégage ses forces et ses faiblesses mais aussi les opportunités et menaces pour l’entreprise.

Ce sont ces différentes analyses qui aideront l’acquéreur à prendre la bonne décision.

Diagnostic financier

Le diagnostic financier prend en compte les éléments chiffrés qui caractérisent l’entreprise. Le bilan, le compte de résultat, les annexes mais aussi les rapports de gestion et les ratios financiers seront des appuis fondamentaux.

Ces documents permettent de connaître l’évolution du chiffre d’affaires, le niveau de la trésorerie et des créances. Ils informent sur le détail des dettes contractées et sur la capacité de l’entreprise à les rembourser. Ils donnent une photographie de la performance de l’entreprise et mettent en lumière ses points forts, ses fragilités et permettent de dégager ses perspectives.

Diverses questions peuvent également être posées à cette occasion :

  • L’entreprise a-t-elle reçu ou reçoit-elle des subventions ?
  • Comment le dirigeant se rémunère-t-il et à quelle hauteur ?
  • L’entreprise est-elle propriétaire de ses murs ou loue-t-elle ses locaux à une SCI (Société Civile Immobilière) appartenant aux actionnaires ?

Diagnostic social

Celui-ci permet à l’acquéreur d’obtenir des informations sur la situation de ses futurs collaborateurs. Les deux parties peuvent ainsi décider du maintien des contrats de travail des salariés (si ces derniers le souhaitent évidemment) ou non.

En outre, il permet de comprendre la situation sociale dans laquelle l’entreprise se trouve. Elle fera apparaître l’existence de confits potentiels ou encore de litiges prud’hommaux dont il faudra tenir compte.

Avec ce diagnostic, c’est la possibilité d’identifier les salariés qui approchent l’âge de la retraite pour préparer leur remplacement. Article sur le départ à la retraite

Enfin, c’est enfin le moyen de s’assurer que toutes les provisions financières liées à leur départ sont bien prises en compte.

Diagnostic juridique

Son objet est d’identifier et de vérifier le statut des contrats qui existent dans l’entreprise : contrats de travail, contrat(s) de bail, contrat(s) d’assurance, contrats avec les fournisseurs et les clients.

Il a pour but d’examiner leur adéquation et de leur conformité avec l’activité envisagée et de juger de leur pérennité.

La prise en compte de la législation et des règles qui régissent l’activité de l’entreprise et ses contrats est essentielle dans le cadre d’une reprise. Ne pas le faire peut conduire à de graves déconvenues ultérieures.

Diagnostic des moyens opérationnels et humains

Ce diagnostic va apporter d’importantes précisions à l’acquéreur. Il indique la nature, la quantité et la qualité des moyens opérationnels mis en œuvre par l’entreprise pour exercer son activité et atteindre ses objectifs.

Les immobilisations disponibles et leur emplacement exact dans l’entreprise doivent être contrôlés. Leur ancienneté, leur productivité, leur niveau de maintenance et de vétusté doivent être vérifiés. Il faudra alors identifier et planifier les éventuels remplacements et tenir compte des conséquences financières.

Avec ce diagnostic, l’acquéreur prend aussi connaissance des moyens humains dont il disposera à l’issue de la reprise. Cela concerne les salariés et/ou les intérimaires qui évoluent dans l’entreprise, les postes occupés et le niveau de qualification. Il donne enfin des précisions sur les rémunérations et la moyenne d’âge des employés.

Diagnostic environnemental

Aujourd’hui, toutes les entreprises font face aux enjeux environnementaux. Elles sont de plus en plus jugées sur leur respect de la réglementation et sur leur empreinte écologique.

Ce dernier diagnostic fait état de leur conformité avec les normes édictées pour leur activité (activité classifiée ou polluante) et du niveau de sécurité et de bien être de leurs salariés.

A titre d’exemple, l’acquéreur devra s’attacher à la juste application des conditions de travail pour les employés. Il devra aussi valider le respect des normes en matière d’hygiène et de sécurité. Enfin, la mise en place ou non de systèmes de réduction des déchets ou de limitation des émissions de gaz à effet de serre seront des éléments à prendre en considération.

En conclusion, retenons que cette phase de diagnostic est essentielle lors de l’acquisition d’une entreprise. C’est une des étapes importantes qui vous permettra de confirmer ou pas la poursuite de votre projet de reprise.

A lire aussi : les étapes de transmission d’entreprise ou de commerce

Salamata DIALLO

Les mesures pour faciliter la transmission d’entreprise : projet de loi de finances 2022 (PLF 2022)

Transmission entreprise

Le gouvernement continue son projet de soutien aux travailleurs indépendants pour faciliter la transmission d’entreprise. Il a mis en place des mesures pour faciliter la transmission d’entreprise.

  • Déduire du résultat imposable les amortissements comptables des fonds commerciaux. Mais l’acquisition de ces fonds doit se faire entre 2022 et 2023.
  • Faciliter l’accès à la formation. Pour les chefs d’entreprise des micro entreprises, le montant du crédit d’impôt sera doublé.
  • Exonérer les plus-values en cas de cession d’entreprise.

Amortissement comptable du fonds commercial acquis entre 2022 et 2023

Les amortissements comptables des fonds commerciaux acquis entre 2022 et 2023 seront déduits du résultat imposable. Encore une nouvelle mesure qui vient ravir les chefs d’entreprise. Cette mesure s’adresse à toutes les entreprises.

Mais qu’est-ce qu’un fonds commercial ?

Le fonds commercial est composé des éléments incorporels du fonds de commerce : la clientèle l’enseigne, le nom commercial, l’achalandage, etc.

Quelle différence entre fonds de commerce et fonds commercial ?

Le fonds de commerce est un actif du bilan et est composé d’éléments corporels et incorporels. Le fonds commercial ne concerne que la partie des éléments immatériels. C’est donc le fonds de commerce qui englobe le fonds commercial. Le fonds commercial peut être en location, nantissement ou cession.

Jusqu’à maintenant et sauf cas spécifique, le fonds commercial n’est pas amortissable. Il pouvait l’être sous deux conditions :

  • Généralement, s’il avait une durée de vie limitée, à justifier, sinon il était interdit de l’amortir. Dans ce cas, il pouvait être amorti sur 10 ans.
  • Pour les petites entreprises, il était possible d’amortir le fonds commercial même si la durée de vie n’était pas limitée.

Pour mémoire, est considérée comme Petite Entreprise, toute entreprise qui remplie les conditions suivantes :

Total du bilan < 6 000 000 euros
Montant net du chiffre d’affaires < 12 000 000 euros
Nombre moyen de salariés employés au cours de l’exercice < 50

Cela sera désormais possible lorsque le fonds commercial est acquis entre 2022 et 2023. Cette mesure permet entre autres de soulager les chefs d’entreprise, d’encourager les personnes qui veulent lancer leur activité et surtout de relancer l’économie.

Facilité d’accès à la formation pour les chefs d’entreprise des micro entreprises

Pour les dirigeants des micro entreprises, le montant du crédit d’impôt de la formation sera doublé. Il sera donc de 820 euros, actuellement il est de 410 euros.

Exonération des plus-values en cas de cession

Enfin, lors de la cession d’un élément d’actif immobilisé, il y a exonération maintenant des plus-values professionnelles sous respect de certaines conditions :

  • La nature de l’activité peut être aussi bien commerciale, industrielle, artisanale, agricole ou libérale.
  • L’activité doit avoir été exercée pendant au moins cinq (5) ans à la date de la cession.
  • Les recettes annuelles hors taxes doivent être inférieures ou égales à 250 000€ pour les activités de vente et 90 000€ pour toutes autres activités.

A lire également :

Le plan Griset ou le plan en faveur des travailleurs indépendants

Le projet de loi des finances 2022

Les sources de financement reprise entreprise

Salamata DIALLO

Les étapes de la transmission d’entreprise ou de commerce

Les étapes transmission d’entreprise ou de commerce

Vous avez un projet de transmission d’entreprise ou de commerce ? La connaissance des étapes de la transmission d’entreprise ou de commerce est primordiale pour mener à bien votre projet.

Vous souhaitez vous lancer dans ce projet d’acquisition ou de reprise mais vous ne savez pas par où commencer ? Le projet de rachat ou de vente d’entreprise n’est pas chose aisée car il demande un minimum d’étapes essentielles à suivre et ce dans un ordre bien structuré. Les étapes de la transmission d’entreprise ou de commerce qu’il faut absolument connaitre vous sont détaillés afin de vous permettre de bien mener à terme votre projet.

Les étapes de la transmission d’entreprise ou commerce peuvent être vues depuis les deux côtés, du côté cédant ensuite du côté repreneur :

1. Du côté cédant

Lorsqu’une personne souhaite vendre une entreprise ou un commerce, la première chose à faire est son estimation. Elle permet d’avoir une fourchette de prix dans laquelle est comprise la valeur de votre société.

La détermination du prix peut être revue à la hausse ou à la baisse par le vendeur selon différents critères qui sont les suivants :

  • Fourchette haute, par exemple lorsqu’il existe des clients récurrents (portefeuille fidèle et renouvelé).
  • Fourchette basse, lorsque l’entreprise est en situation de fragilité (manque de personnel, matières premières en rupture, etc…).

Ce prix sert de base pour entamer une négociation de vente avec les potentiels acheteurs.

A noter, qu’il existe une différence entre la valeur et le prix. L’estimation donne une fourchette de prix (entre un chiffre plancher et un plafond) et la valorisation donne la valeur de la société en fonction de certaines méthodes.

La méthode par l’EBE qui permet de déterminer le prix de vente de la société.

La méthode par la CAF qui, elle, permet de savoir à quelle hauteur la banque peut financer le rachat de l’entreprise. Elle est plus intéressante pour l’acquéreur en fonction de sa capacité financière.

Après l’étape d’estimation, il faut passer à l’étape de vente. Le cédant connait ce que vaut son entreprise ou son commerce, et va passer maintenant à la vente proprement dite.

Il peut choisir de vendre tout seul (vente directe) ou de se faire accompagner (vente indirecte).

La vente directe

Une vente directe ? c’est lorsque le cédant décide de se débrouiller seul pour la vente de son entreprise. C’est difficile en réalité car il ne connait pas les process et les écueils à éviter. Il risque de vendre sur la base d’un prix non fondé, d’où l’importance de l’estimation. Parfois même les cédants dévalorisent leur entreprise.

Comme l’a dit un jour un cédant, je cite : « Vendre son entreprise, c’est comme vendre son propre enfant ».

La vente indirecte

Une vente indirecte, c’est lorsque le cédant est accompagné par des professionnels de la transmission. Dans ce cas, il faut un mandat d’intermédiation pour permettre au cabinet de bien mener à terme son travail. En retour le cabinet perçoit une commission qui est financée par l’acheteur. C’est le même principe qu’un agent immobilier quand vous vendez votre appartement ou maison.

N.B. Dans la plupart des cas, les commissions des cabinets d’intermédiation sont à la charge de l’acheteur et se calculent en plus du prix de vente.

En moyenne, le délai de vente d’une entreprise est compris entre 12 et 18 mois avec un accompagnement. Le processus de vente est long et souvent difficile.

Je vous invite également à lire notre article sur la transmission d’une PME/TPE.

2. Du côté repreneur

La première chose qu’il doit faire est de définir les domaines qui l’intéressent (industrie, service, etc…), la région où il est prêt à s’établir et enfin une liste des entreprises et commerces qui l’intéressent potentiellement.

Ensuite, il faut passer à l’estimation pour avoir une fourchette de valeurs et connaitre aussi le montant maximum que la banque peut financer sur la base de potentielles cibles (établies en amont). C’est l’étape primordiale de la valorisation, on ne peut vendre son entreprise ou commerce si on ne connait pas le prix. Si vous connaissez votre budget financier, vous pourrez cibler des entreprises qui sont dans votre enveloppe.

Le prix est un vecteur central, c’est l’élément de négociation entre le cédant et l’acquéreur.

Élaborer une fiche de cadrage en fonction des cibles potentielles. Généralement, il faut avoir entre 20 et 30% d’apport personnel pour que votre banque accepte de vous accompagner dans votre projet d’acquisition.

Recommandations :

Nous vous recommandons fortement de vous inscrire dans un club de cédants et repreneurs type CRA (Cédants et Repreneurs d’Affaires) qui propose des formations pour les cédants et repreneurs ou l’IRCE (Institut Régional des Chefs d’Entreprise). Votre CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie) peut également vous aider dans votre démarche.

Les principaux conseillers du repreneur sont les avocats et les experts comptables. Néanmoins, en tant que repreneur, vous pouvez vous rapprocher d’un cabinet d’intermédiation dont l’expertise vous fera gagner du temps dans la recherche de cibles. Dans ce cas, vous signer une lettre d’intention d’achat, le repreneur s’engage vis à vis du cédant sur les modalités de reprise.

Il existe plusieurs cabinets dans le secteur de la transmission d’entreprise et de commerce. Tout dépend de la taille de la société que vous ciblez ou que vous vendez. Les cabinets ALJR ou VaLiEnte sont spécialisés dans les transmissions, ventes, rachats pour les PME/TPE. Pour les plus grandes entreprises, des cabinets nationaux peuvent vous aider type In Extenso Finance&Transmission.

Ces cabinets vous permettent d’avoir le juste prix pour vendre ou acheter et surtout ils négocient pour vous. Comme pour la vente ou l’achat d’une maison, l’agent immobilier a l’objectivité nécessaire pour voir le potentiel d’un bien sans la décoration. Pour une entreprise, c’est la même chose, votre conseiller vous aidera à mieux présenter votre dossier de reprise, à valoriser vos points forts et au final, à acheter bien et plus vite.

Autres articles intéressants à lire :

Une seule méthode de valorisation de votre entreprise ?

Le prix d’une entreprise & commerce : juste valorisation

Salamata DIALLO